Ce qu'il faut que vous sachiez, c'est que j'ai 22 ans, et que je suis en 7ème Année. Je suis un Humain dit Manthem, et je suis associé aux éléments Bois & Roche. Je suis d'origine Japonaise et je suis issue d'une famille de Sang Mêlé. Mère Sorcière. Père Moldu. Enfin, je ressemble fortement à Mizuki - Sadie. mais ce n'est pas moi !

Ma baguette magique est en Bois d'Ebène, mesure 27 centimètres et demi et son coeur est composé de Sang de Sombral. A Anima, je possède un Kneazle, une sorte de chat magique. Concernant ma spécialisation, j'aimerais être Guérisseur.

Q : Comment vous comportez-vous avec votre entourage ?
Ϟ De manière naturel je dirais que j'agis normalement, mais je ne pense pas que ce genre de réponse suffira. Pour tout vous dire j'ai plus souvent l'impression de porter un masque, de jouer un rôle. Même avec ma famille, surtout avec elle en fait. Je vis avec ma mère, et je tâche de garder un visage joyeux, mais parfois j'ai du mal. Très dur en effet qu'en votre mère ne vous reconnaît qu'une fois sur deux, et qu'elle a une tendance à casser la vaisselle à côté de vous par accident. Quand à mon père, il a quitté ma mère quand il a sur qu'elle était une sorcière et de surcroît enceinte. Comme quoi tous les gens ne sont pas parfait.
Pour ce qui est de mes amis, je laisse tomber le visage un peu enfantin que j'aborde chez moi pour quelque chose de plus sûr. Prestance, charisme, je fais tout pour me démarquer et j'y arrive sans mal. A l'écoute des autres, un sourire sûr aux lèvres, ça fait sept ans que je cherche à me faire bien voir et que j'y arrive, malgré mes résultats déplorables dans certains cours et ma maladresse légendaire, je me suis tout de même fait des ennemis malheureusement mais on ne peut pas tout avoir.
Avec eux, je ne suis pas du genre à sortir les poings, je me retrouverais à l'infirmerie avant eux, mais à jouer de la ruse, tout les coups sont permis, surtout si on ne me voit pas. Je n'ai pas des grands idéaux à clamer ou que sais-je encore, la ruse c'est plutôt mon fort, et pourquoi vouloir me battre de manière noble avec des gens qui ne le méritent pas ? Non à partir du moment où on devient mon ennemi, je n'ai plus aucune pitié, à la guerre, comme à la guerre.
En ce qui concerne les inconnus, je suppose qu'au début ils doivent être dérouté. On me considère souvent comme un être marginal et incongru. Après je ne suis pas du genre à forcer les gens à devenir mes amis, qu'il m'aime ou pas, c'est à eux de le découvrir, et s'ils ne veulent pas m'approcher tant pis. Sinon, je suppose que face à des inconnus, je peux relâcher un peu mon masque, paraître un peu moins sûr, un peu plus hésitant, mais je reste toujours sur mes gardes, vu que même moi je ne sais plus vraiment qui je suis et comment j'agis.

Q : Vous et l'école, ça donne quoi ?
Ϟ Là je vous dirais que ça dépend du point de vue. De mon côté l'école, enfin Anima surtout me permet d'échapper au côté étouffant de ma maison, donc j'ai vraiment un réel plaisir à venir ici, après en ce qui concerne les cours ça dépend. Naturellement intelligent, autant dire les choses comme elles le sont, tout ce qui est question théorie je m'en sors sans problème. Etonnement les potions ne posent pas de soucis non plus, la maîtrise des éléments est par contre plus aléatoire. Heureusement je commence enfin à bien tout maîtriser. Je suis un cas désespéré par contre en défense je l'avoue sans mal, et ma maladresse n'arrange rien à la chose. Après au niveau comportement ... Je ne suis pas une gène en cours, sauf en défense, mais comme je sèche souvent cette matière, étant aussi désespéré que le professeur ... Non sérieusement les professeurs n'ont pas grand chose à me reprocher, sans être un rat de bibliothèque, et avec une légère tendance à fuir les cours, je me place malgré tout dans les premiers.

Q : Citez 3 de vos qualités et 3 de vos défauts :
Ϟ Je ne me connais pas moi-même. Il n'est pas question d'une quelconque amnésie bienfaitrice ou d'un dédoublement de personnalité qui pourrait encore expliquer mon absence de caractère, ou plutôt cette absence de connaissance pour le moins gênante. Je suis sans être. Un nom ne cachant rien. Mystère incessant pour ne dévoiler qu'une banalité rassurante. Je ne vois pas ce qu'on pourrait me trouver. Je ne vois pas ce qu'on pourrait m'envier. Je n'ai rien vécu, la vie pour moi ne se résume qu'à une phrase. L'attente salvatrice de la faucheuse qui viendra me chercher incessamment sous peu. Le pessimisme ne me conviendrait pas contrairement à ce que vous croyez. La lucidité est une amie commode, sans doute un peu plus que l'optimisme qui frappa ma famille envers moi. S'en sortir, braver la vie, on me montre comme l'incarnation du courage, je pense plutôt être le clown qui reste prudent devant le rire de la vie. La solitude me tend ses bras d'amoureuse, et je l'accepte un soupir d'extase aux lèvres car je redoute l'idiotie des gens. Associal mais peut-être pas autant qu'il ne le faudrait pour respirer, j'attire les gens. Le physique dit-on. Ce n'est pas le mien. Je suis une copie, un dessin, un être façonné. Robotique idiote et mesurée, pour un être mal-calculé. Copie qui ressent, vit et souffre. C'est la nature de l'être humain dit-on, alors autant maudire l'humanité. Parce que je suis la moitié d'un tout, d'un rien. Je sais sourire, je sais rire, mais ceux sont des qualités communes des facultés données à tout à chacun. Alors je sais survivre. Drôle de conclusion à cette vie, mais je ne me vois pas quoi dire d'autre. Vous dépeindre mon portrait comme un artiste, reviendrez à me donner de l'importance. Mais peut-être que j'en ai. Parce que si ce Dieu cruel, création subliminal de l'homme, ne veut pas de moi dans l'Eden perdue de l'être, c'est que mon existence est existentielle, sans pour autant devenir hautain.

Il parait que je suis un Pierrot, ou alors je l'étais. Soutien de l'auguste, de l'empereur sentimental, je ne montre qu'une façade parmi tant d'autres cachant le monstre hurlant que j'incarne derrière un manteau blanc. En vérité, je n'ai que peu de qualités. La compassion m'échappe, la sociabilité me fuit. Jusqu'à présent, j'ai toujours gardé un sourire aux lèvres, armant en porte drapeau, une fierté, et une envie de me battre aussi fausse que ma vie. Jusqu'à maintenant j'ai toujours prié pour m'endormir à jamais et cesser de me réveiller et de regarder par la fenêtre ce monde qu'on me dépeint comme on dépeint un chef-d’œuvre du septième art, mais on ne m'a jamais accordé ce privilège. Alors aigri de la vie, je continue à me réveiller et à écouter le babillage incessant des membres de ce groupe qu'on appelle famille et qui ne sont reliés que par le sang et quelques ressemblances physiques. Bien sûr restons dans le raisonnable, j'ai toujours mis au silence x répliques assassines, me contentant de sourire de manière douce, et de prétendre à la fatigue pour accéder enfin au calme olympien. J'apprécie le calme et la solitude, mais depuis peu on ne me les accorde plus, comme à un enfant trop vieux, à qui on aurait repris ses jouets d'antan. Le calme, la volupté, la satiété d'être seul et de ne plus en avoir pour longtemps me sont à présent inconnu. J'ai dû quitter un rôle pour un autre dans le théâtre de la vie. Etre, paraître puis devenir. Une succession logique qui emmène à la débandade de mon coeur qui taira un refus. Parce que je n'ai pas le choix. Parce que je suis sauf et que la faucheuse s'éloigne ayant trouvé mieux que mon illustre personne. Alors on s'adapte.

Sans paraître décalé, j'en viendrais même à avoir peur des gens de leur toucher. Peur de tomber malade à cause de leurs mots et maux, et d'en vomir. Il m'en a fallu du temps pour tout accepter, pour qu'aux yeux du monde je sois devenu cette marionnette tant appréciée que tout le monde attendait. Adieu candeur printanière et enfantine, silence nocturne, et douceur hivernale, bonjour soleil aveuglant, rires assourdissants qui vous paraissent sardoniques, et lucidité encore plus déconcertante. On m'a transformé en cliché, je me suis laissé façonner, la lassitude m'habitant depuis toujours. Las d'une vie qui n'est pas la mienne, fatigué de journées que je regarde passer sans vivre. Il parait que je reste faible derrière cette coquille rassurante que je porte maintenant comme une double peau. Mais je suis faible et apeuré. Je n'ai pas peur de le dire, mais de là à le crier, hélas je ne le peux, alors je me contente de murmurer ces mots, je suis faible et je connais mes faiblesses. Je connais cet accroc qu'il y a dans mes sentiments, je connais ce battement assourdissant qu'on appelle le coeur. J'ai un ulcère aux sentiments, de l'eau dans le coeur et la nuit est lourde. La fumée ne m'atteint plus et je n'ai que son odeur sur les yeux. J'en paraitrais presque trop poétique, si je venais à dire ça. Mais c'est vrai hélas. La vérité n'est que plus dur à accepter, sachant que ce chainon manquant à ma vie, j'ai dû le construire de toute part quitte à paraitre factice ou encore mensonger, pour sauver des vies qui m'importe peu.

J'ai enfilé ce rôle, par commodité. Et par obligation même si j'aimerais oublier la deuxième partie. J'ai appris à rire, et à sourire faux, car le côté vraisemblable est tout ce qu'il me reste. Le naturel m'échappe, alors on ne peut que s'adapter. Je suis sorti, j'ai connu la vie. J'ai appris à comprendre la nature humaine, et à la dédaigner qu'un peu plus. Devenir arrogant, et aussi hautain que possible pour ne pas être blessé plus. Être incessamment une ombre vernie par les autres, la même sensation humide de se faire violer par leurs regards. Et se taire sous les regards et jouer. Joueur de flute, joueur de vie. Jouer tout simplement et s'adapter. Devenir inconscient, ranger sa lucidité au placard pour ne plus souffrir à chaque seconde de la bassesse de ce monde. Se déchirer les yeux d'un coup de larme pour en finir avec cette envie de gerber sur vous. Vomir et pleurer c'est un peu pareil, ce n'est qu'une question d'odeur. Je ne peux faire ni l'un ni l'autre. Marionnette de la vie, je souris encore et encore, m'assurant qu'on me croit ne serait-ce qu'un peu. Je suis devenu mon inverse. Sourire, rire s'amuser, détester les gens, n'aimer que soi, être aussi mégalomane et narcissique qu'un tyran, aimer son apparence dans les miroirs, alors qu'il y a peu je brisais ces morceaux de verres, vivre, détester, aimer, survivre. Je n'aime pas ce rôle, mais je ne suis pas grande vedette, alors je me contente de dire oui et de jouer, priant pour qu'on ne découvre pas la supercherie, et qu'on me laisse un jour retourner dans les bras de la dame au voile noir. Bonsoir je vais bien, j'oublie, ça fait longtemps que j'oublie et je continue d'oublier. Encore et encore dans ce cercle vicieux qui n'en finira jamais. Ce n'est qu'une boucle incessante et on ne peut rien y faire si ce n'est attendre encore un peu. Il me regarde mais je regarde derrière, crève moi les yeux ça ira mieux, ne crois pas que je pleure, ça serait trop facile ... J'oublie pour mieux devenir, je garde mes larmes pour en faire des armes. Mes sentiments n'en seront que plus poignant parait-il. Je ne veux plus voir le monde, à défaut de vivre la vie, il parait que ça ne me réussit guère. Hier on parlait de pitié et de compassion envers ceux que je voyais, aujourd'hui on par d'égoïsme et de supériorité, que puis-je vraiment y faire ? Survivre ? En soit c'est une finalité quotidienne et hélas banale à laquelle je devrais me contenter.

Je n'ai pas envie de raconter mon histoire. Je n'ai pas envie de vous parler de cette enfance effrayante et inutile. Je n'ai pas envie mais je sais que je dois. Il parait que ça nous permet de nous détacher des fantômes du passé. Je préférais l'enfant du passé au gamin d'aujourd'hui. Je préférais le garçon renfermé à cet homme adulé. Je ne sais même pas si c'est vraiment moi dans le miroir. Pauvre acteur je me suis laissé entrainer par le rôle au point de ne plus pouvoir m'en sortir. Avec compassion vous pourriez me dire que ce n'est pas de ma faute, et j'en rirais, parce que même si ce n'est pas totalement de ma faute, je fais parti de l'équation qui détraqua ma mère et qui en même temps m'empêcha de vivre de manière normale, si la normalité existe. Mon géniteur, à défaut de l'appeler mon père vu l'absence d'attention qu'il me donna, était de ces gens qui ne connaissaient pas la magie. Sans doute était-ce mieux pour lui vu comment il considère tout cela comme quelque chose de mauvais. Tant mieux pour ma mère qui a su le cacher au début. Bonne menteuse, sans doute autant que moi, jusqu'à la veille du mariage elle le cacha. Mais l'alcool délie les langues et son futur beau frère ne l'avait jamais eu dans sa poche. Bien étrange pour une personne purement normal d'entendre parler de magie, d'élément d'une ancêtre vélane dont la beauté continue de faire honneur à la famille. Bien étrange aussi de voir la mariée attendre dans l'Eglise, d'y attendre jusqu'au soir, d'y attendre jusqu'à ce que tout le monde désespère et s'en aille. Mariée esseulée, femme trahie, elle est enceinte depuis trop longtemps pour avorter. Et c'est dans ces tristes conditions que je foulai de mes cris le monde des vivants.

Usami est le nom de ma mère, mon géniteur ne m'ayant jamais reconnu, de toute façon il a fuit. Egoïstement je pourrais dire que c'était un lâche, mais on peut comprendre. Oui on peut comprendre qu'un monde pareil soit effrayant. La vision que j'en eus ne me donna pas envie de le fréquenter. Bien au contraire. Une mère tarée qui essayait de tuer la magie en vous en vous giflant dès que possible, un oncle aussi peu fréquentable qui vous considérez comme une décoration. Non on aurait pu avoir mieux. Pourtant je sais que ma mère m'aime. Je sais qu'elle m'aime, parce qu'elle n'était pas une personne méchante. Après m'avoir porté pendant neuf mois dans son ventre elle ne peut pas me haïr. Et puis chez elle, il y avait comme deux personnalités. Celle toute douce, celle de la mère aimante qui se souciait de mon bien être et celle de cette sorcière hystérique abandonnée par l'homme qu'elle aimait et qui n'arrivait pas à retrouver en moi les traits de cet homme. Ca aussi c'était un problème. Dans la famille on a eu une vélane parmi nos ancêtres, et il semblerait que malgré le nombre de générations on en profite encore. Plus féminin que masculin, je l'admets sans mal, j'ai un physique assez déroutant et donc la perfection a fait pleurer bien des filles. Un garçon aussi mignon c'est désespérant je crois. Je l'ai regretté longuement pendant mon enfance, j'ai haïs mon apparence tout comme ma mère la haïssait au point d'en briser les miroirs de ma maison. Pourquoi ne pouvais-je donc pas ressembler à mon géniteur ? Pourquoi étais-je donc incapable de lui faire plaisir ?

Cette ambiance à la maison m'amena à souvent quitter le logis pour aller m'évanouir dans la nature. Petit je ne comprenais pas pourquoi mais j'avais l'impression que la nature était vivante, qu'elle me protégeait de la vie. C'était des petits rien en soi, un arbre qui semblait s'incliner afin de me protéger du soleil quand je me reposais à ses pieds, la nature qui semblait plus luxuriante autour de moi, les fleurs qui semblaient ne jamais vouloir se faner ... J'aimais la nature. Je l'aime toujours. J'aime la manière dont elle me répond, dont elle se montre, j'aime l'idée de savoir qu'il a quelque chose que je comprends, et qui me comprend sans qu'on ait besoin de mot. Mais ça aussi ça allait devenir une source de problème. Ma mère dans une énième crise d'hystérie se demanda pourquoi le jardin même en hiver semblait resplendissant, pourquoi les fleurs que je lui avais offert naïvement refusé de flétrir. Toutes ses questions amenèrent à un vase brisé, une entaille sur ma joue et ses hurlements pathétiques dans la cuisine. Pathétique oui. Parce que lors qu'on grandit dans ce genre d'ambiance on est incapable de pouvoir encore aimer sa mère. J'ai très vite appris à jouer un rôle. Par commodité, pour éviter qu'elle ne s'énerve trop. C'est sans doute là que j'ai commencé à détraqué mon caractère propre. Quoi que ... Je n'ai peut-être jamais eu le temps d'en avoir un, et sous les multiples visages que je me donne il n'y a rien. Rien sauf du vide. Effrayant.

Ma porte de survie fut Anima. Encore cris de désolations et félicitations hypocrites, je pris mon envol vers cette école. Ecole qui au début me stressa autant que chez moi, et me força à porter un masque que je porte toujours. Je suis devenu Shinya le garçon entouré, trop maladroit pour son propre bien mais dont la réputation n'est plus à faire. Shinya hein ... Drôle de gamin, drôle de masque. Je ne compte plus ses chutes, je ne compte plus ses rires faux dans la salle commune, une attitude maîtrisée jusqu’aux moindres détails. Une assurance que je ne connais pas mais avec laquelle j'ai pu maltraitée mon propre esprit afin qu'il s'en sorte. Shinya si peu doué en défense, mais naturellement confiant quant aux potions et à tout ce qui relève des plantes, de la nature. Forcément je suivis la voix de guérisseur. Poisons, contre poisons, baumes, sortilèges de soin, j'en connaissais la plupart, j'en avais appliqué certains sur moi. Une enfance dans une maison, seul avec un parent hystérique vous fait vous apprendre à vous occuper de vous assez vite. En soi, j'ai vraiment l'impression de vivre dans un théâtre, je joue mon rôle inlassablement au point je vous l'ai dis de ne pas me connaître moi-même. La seule personne à pouvoir prétendre vraiment me connaître est mon Kneazle. Ce genre de créature ayant la taille d'un chat, le pelage digne d'un gros félin et les oreilles légèrement pointus. Ce genre de félins bien trop intelligent pour leur bien, capable de vous comprendre d'un regard et d'agir en fonction de vous. Ce genre d'animal aussi considéré comme trop dangereux parce qu'il défendra et attaquera pour son maître jusqu'à ce qu'il juge digne la punition qu'il voulait donnée. Bref tout ça pour dire qu'il n'y a que lui qui me comprend et ce n'est peut-être pas étonnant. S'il pouvait parler il serait en soit mon meilleur ami. Ce n'est que le compagnon de ma vie et c'est déjà pas si mal. Un compagnon pour cet acteur. Il ne mourra pas seul finalement.

En soi vous voyez, rien de bien intéressant non ?