Ce qu'il faut que vous sachiez, c'est que j'ai 32 ans, et que je suis Professeur de Préparation Physique en Terrain Dangereux (PPTD). Je suis un animorphe Guépard Royal, et je suis associé à l'élément Foudre. Je suis d'origine Japonaise et je suis issue d'une famille de magiciens. Enfin, je ressemble fortement à Ruka - Nightmare mais ce n'est pas moi !

Ma baguette magique est en Bois de Chène Rouge, mesure 33cm et son coeur est composé d'une écaille de dragon. A Anima, je ne possède pas d'animal de compagnie mais un hypogriffe s'est pris d'affection pour moi. Concernant ma spécialisation, je fus un Fantassin.

Q : Comment vous comportez-vous avec votre entourage ?
Ϟ Ayame est la noblesse pure. Mais une noblesse dérangeante. Froid, glacial, considéré souvent comme dangereux du premier regard on n'aimerait pas s'y frotter et à raison. Il n'a rien de gentil, en tout cas, pas avec les inconnus. Bref tout est maîtrise chez cet homme et pas un instant on ne le verra perdre son sang froid. Avec sa famille, il a toujours été l'enfant modèle, pas un pas de travers, toujours à l'écoute de celle-ci, le fils aîné par excellence. Du côté de ses amis, sa froideur et son stoïcisme dérangeant laissent place à une personne toujours aussi calme, mais au sourire facile, leader né, il dirige, aide, conseille et surtout protège, le grand frère parfait, même si ce n'est pas toujours de la rigolade avec lui. Pour ses rivaux, il inspire la crainte, la terreur, sans pitié il applique lui-même ses jugements et restera de marbre malgré les supplications. De même c'est un chasseur, une fois qu'il vous a dans le collimateur, c'en est fini de vous, il vous traquera jusqu'à ce que les nerfs craquent, que la peur s'installe et qu'il puisse disposer de vous tel un roi.

Q : Comment faites-vous cours en général ?
Ϟ Anciennement sur le terrain, Ayame n'est pas du genre à faire des cours théoriques de plusieurs heures. Bien sûr la théorie est importante, mais on apprend sur le vif, en faisant des erreurs, en tombant, en se relevant. C'est pourquoi les élèves l'apprendront bien vite, avec Ayame le maître mot est réactivité. Il faut toujours agir sur le moment, réussir à concorder ses pensées, ses stratégies avec l'action en cours. Donc tout se passe sur le terrain, et la plupart du temps avec des simulations ou encore des parcours du combattant, où l'esprit va de paire avec le maniement des armes. Un programme où l'ennui n'a pas sa place.

Q : Comment vivez-vous votre métier au sein d'Anima ?
Ϟ Etant donné que ce sera la première année d'Ayame dans les bâtiments de son ancienne école, il ne sait pas encore ce qu'il doit en penser, mais une chose est sûre personne ne l'a forcé à revenir, et s'il a posé un pied dans cette école, c'est parce qu'il pense qu'il y a des choses à faire savoir aux nouvelles générations, et qu'un combat ce n'est pas simplement agiter une arme en pensant que la force brute suffit.

Q : Citez 3 de vos qualités et 3 de vos défauts :
Ϟ Pensez-vous que la perfection existe sur Terre ? Pensez-vous que Dieu ait pu créer quelque chose de plus parfait encore que l'être humain, si encore ce Créateur existe ? On peinerait presque à y croire. On peinerait presque hélas, et on en rirait. Parce que on a tellement été déçu par le monde, parce qu'on a vu tellement de vices et de pêchés, parce qu'on a tellement cru en tout, à tout, avant de retomber violemment qu'on ne peut plus y croire. Pourtant la perfection existe. Oui selon certains, elle existe. Non pas au niveau de l'apparence, chacun ses gouts et ses couleurs mais peut-être au niveau être, conscience, état de soi. Non, mais écoutez les murmures. Entendez-les chanter les louanges de cet être. Entendez-les clamer sa beauté, son intelligence sa personne, l'élevant au rang de Dieu alors qu'il n'est que lui-même. Oui on ne croit plus à la perfection. On n'y croyait plus avant de le voir lui. Un visage, une stature, une aura. Un être. Lui. Ayame. Ayame Tsukiyo, il est la perfection même aux yeux de tous. Va savoir pourquoi, il n'est que lui même. Mais son être est un art. Un art perfectionniste, et le pire sans doute et que c'est naturel chez lui. Tout est naturel que se soit le charisme, son maintient, son langage, tout en lui n'est que réalisme, et un réalisme déroutant. Parfois on se demande presque naïvement si ce n'est pas un tableau qui serait devenu vivant tout simplement. Mais alors ce tableau a été façonné avec le temps, façonné avec soin et délicatesse pour faire de lui ce qu'il est. Un modèle parmi les sorciers.

Autant être réaliste et le dire tout de suite, Ayame n'a presque aucun défaut. Prodige, ou perfection il ne pourrait se permettre d'en avoir. Si on décrit la personne de loin sans trop s'approcher on peut tout de suite dire plusieurs choses. De un, il n'y a pas de sorcier ayant un charisme aussi prononcé, et aussi attirant. Il est beau, il est naturel, il ne choque pas. Il n'en n'a pas besoin. Il attire naturellement. Phare pour les bateaux, guide pour les enfants perdus, il inspire naturellement la confiance. Il est tout simplement. Même pas arrogant. Trop froid, trop parfait, mais sans doute l'aime-t-on pour ça et heureusement. Un charisme, une prestance digne d'un prince, on s'écarterait presque sur son chemin. On le fait en y repensant. Une démarche féline, souple, sûre, il n'a pas peur de se montrer tel qu'il est vraiment, sans vraiment avoir peur des parties sombres de sa vie, de son caractère. De deux, il est tout simplement inatteignable. Il est la fleur interdite, la fleur parfaite glacée dans la résine. Un chef d'œuvre. Un chef d'œuvre humain. La noblesse alliée à la distinction, la prestance à l'éloquence, l'autorité à la connaissance. Il est un savant mélange faisant de lui un leader incontesté. Conquérant, convainquant, tout ce qu'il entreprend semble être une réussite. Et forcément on le jalouse. Mais qui a-t-il à jalouser ? C'est presque avec regret qu'on admettra autour de lui qu'il n'est pas du même niveau. Et c'est sans doute vrai.

Si on s'attarde sur plusieurs points de son caractère on pourra voir qu'il n'est pas si parfait que ça. Mais ne cassons pas le mythe, commençons pas le commencement. Ayame est quelqu'un de naturellement noble et froid. Tout chez lui est emprunt d'une noblesse, et d'une froideur presque un peu déroutante pour en devenir risible. Mais chez lui ça ne choque pas, bien au contraire. Ca fascine. Créature fascinante, la prestance semble être le maitre mot de sa personnalité. Noble, froid mais surtout doué sans pour autant être considéré comme une personne se souciant des autres, il fait parti de ces personnes qui n'hésiteraient pas à sacrifier leur propre personne pour des desseins plus grand. Et on le respecte pour ça. Étrangement on aurait pu le haïr à le voir jouer les médiateurs engagés, à être partisans de ses idées, à s'imposer tout en calmant les ardeurs mais on ne que l'admirer. Oui on ne peut qu'admirer ce prince parce qu'il respecte sans doute plus que quiconque la paix derrière les batailles qu'il a mené. Ce qui nous amène à un autre point de sa personnalité. Manieur des mots. Oui tout simplement pour lui les mots n'ont plus aucuns secrets. Toutes les subtilités, tous les sous-entendus, il les connait, les comprend, les utilise sans mal. Orateur de haut niveau, son maintien aristocratique, sa voix douce, basse et froide, quoi qu'envoutante passionne même les plus lassé. Il parle et on l'écoute. Parce qu'il parle sans doute mieux que quiconque, parce que chacune de ses paroles coulent comme du miel, parce qu'on boit ses paroles, on l'écoute, et on comprend tout et on est obligé d'acquiescer, que ça soit à cause de son timbre doux, de ses mots rassurants, ou de son regard compréhensif malgré sa dureté, on n’a pas le choix tout simplement. Orateur de génie, envouteur envoutant, perfection délectable. Un petit défaut viendrait peut-être un jour ce tableau de rêve, mais on ne lui en tient pas rigueur vite captivé, c'est sans doute sa façon étonnante de mêler le moderne et l'ancien, et de reprendre cette ancienne habitude de parler comme autrefois de parler comme parle un aristocrate, de manière détaché, absente, et tellement belle et poétique ...

Le calme est également un des maîtres mots de sa personnalité. Calme, froid, presque sans sentiments pour certains, il n'est pas du genre à s'énerver. Non jamais. Personne ne pourra se vanter un jour de l'avoir vu perdre son calme, de l'avoir vu hurler, ou perdre sa maitrise de soi. Non, calme, et maître de ses sens, il n'en devient que plus fort encore. Cela ne veut pas dire qu'il n'a pas de sentiments, non bien au contraire, Ayame est sans doute quelqu'un de très sentimental, juste qu'il a appris à ne pas les montrer et à devenir maître de ses émotions pour ne pas souffrir. Oui il est calme, mais il est également patient. Peu de personnes peuvent se vanter l'avoir fait perdre son sang froid, ou alors l'avoir vu se précipiter pour une chose ou une autre. On retrouve particulièrement l'image de sa patience quand on le voit jouer du piano. Excellant dans cet art c'est un virtuose aux doigts de fées dont la musique semble enchanter tout autant que ses mots ou son apparence. Passionné de littérature, si un jour vous cherchez à le retrouver et que vous n'entendez pas de piano ou si vous ne le voyez pas dehors à entrainer les élèves ou à s'entrainer, il sera forcément à la bibliothèque. Extrêmement cultivé, son intelligence est profonde, souterraine. Grand stratège, il analyse les gens autour de lui, les cernant d'un regard ou d'une pensée même, et il ne se trompe que rarement. On vient le voir des conseils, pour son jugement parce qu'il semble avoir un don pour cerner les gens. Mais derrière cette image de prince parfait se cache un autre portrait, un portrait qu'on a souvent tendance à oublier, et qui pourtant est redoutable et redouté de tous.

Un regard dur, un air contrarié, est-ce bien là le prince avenant dont on vient de faire le portrait ? Hélas il semblerait que oui, car malgré tout il a également un mauvais côté. Un mauvais côté qui ne montre que peu, mais dont on devait forcément s'attendre. La perfection est après tout un équilibre entre le bon et le mauvais. Car oui même Ayame peut se montrer mauvais. En effet notre prince ne supporte pas qu'on le déçoive, ou simplement les personnes dotées de mauvaises intentions, ou encore celles qui l'énervent. Et pour ce genre de personne, hors de question d'être complaisant, non, hors de question. Et c'est si triste de sentir son regard d'habitude si neutre, se poser sur nous d'une façon froide et méchante. Mais le regard n'est rien à côté des mots. Car monsieur est un manieur des mots. Dans sa bouche rappelez-vous ceux-ci prennent tous leur sens, et le cynisme, l'ironie le sarcasme, choses qu'on pensait inutilisables, il apparait alors cassant plus que possible, rabaissant la personne décevante en face d'elle. Un humour noir, un caractère irritable, il attaque. Il attaque pour se défendre, pour ses idéaux, pour remettre en place les plus audacieux, les plus téméraires. Torture psychologiques. Oui torture qui finit irrémédiablement par la défaite de l'autre. Il connait les faiblesses, les exploitent et déciment ceux qui le gène. Et parfois il en vient aux mains. Parfois, quand il le faut, dans une guerre rangée, dans une bataille qui n'a plus rien de personnelle. Et irréfutablement il gagne à nouveau. Adversaire de haut niveau. Aucune violence, non juste une bataille froide, rangé. Des coups précis, silencieux, pas d'effusion rien. Il n'a pas tué beaucoup de sorciers, il n'en tuera que peu. Seulement si c'est inévitable.

Mais derrière cette image parfaite, et ce prince si dur envers ses ennemis se cache une dernière facette. Presque insignifiante pour certains qu'on a une légère tendance à l'oublier, à l'occulter. Ayame aussi parfait sorcier, et prince qu'il soit, aussi beau, aussi charismatique et apprécié qu'il soit ne supporte pas tellement sa condition de vie, sa vie. Etrange n'est-ce pas ? On se demande toujours pourquoi une personne si aboutie peut détester ce qu'il est, mais c'est le cas d’Ayame. Un cas qu'il tait. Il envie les autres plus que quiconque, il leur envie leur vie, les regardant vivre d'un air un peu trop froid, un peu trop lointain. Il n'est pas menteur ou bonimenteur non, il est juste un peu envieux. Envieux et surtout lassé. Il est las de sa vie, de tout ce qu'il peut faire, il connait le monde, il l'a vu et revu. Il a tout vu, tout fait, tout testé, tout gouté. A quoi bon le visiter une énième fois ? A quoi bon continuer encore et encore. La mort l'attire. Comme une amante elle l'attire, mais il ne s'en approche jamais. Parce qu'il n'est pas quelqu'un de lâche qui fuit la vie et ses responsabilités voila tout. Non il n'est pas dans ce genre. Il affronte toujours et assume toujours le tout de son air un peu hautain qu'il affiche naturellement sans s'abaisser à supplier ou à demander pardon pour des erreurs. Erreurs, un mot qui nous emmène à la conclusion. Enfin ce n'est pas vraiment une erreur, c'est juste une étrangeté dans le comportement d'Ayame. Comment un être si calme, si posé peut devenir joueur, provocateur et perdre tout ses moyens ? Tout simplement en le mettant dans la même pièce que la personne qui pourra gagner son cœur. Il n'y aura qu'elle qui lui fera perdre tout ses moyens, que cette personne qui le rendra presque vivant, humain et protecteur. Oui protecteur. Ayame est capable tout pour la personne qu'il aimera, même sacrifier la paix, et c'est bien malheureux pour cette créature parfaite.

- Bonjour à tous, bienvenue dans ce numéro exceptionnel de votre quotidien. L'invité du jour n'est autre que le fantassin renommé Tsukiyo Ayame. Tout d'abord merci de nous accorder un peu de votre temps.

Il n'y a aucun problème vraiment. Je sais que ma dernière décision a du en surprendre plus d'un donc ...

- Oui exactement mais tout d'abord, pourrait-on commencer avec quelques informations basiques ? Car mise à part vos faits sur le terrain ou sur la scène politique, on sait bien peu de choses sur vous.

Et bien, je m'appelle Ayame, de la famille Tsukiyo. J'ai actuellement trente deux ans, et comme vous le savez je suis un fantassin tout droit sorti d'Anima. Je travaille essentiellement dans la chasse de mages noirs, et j'aide parfois à la politique comme vous l'avez gentiment souligné auparavant. Des choses que vous aimeriez savoir ?

- Pouvez-vous nous parler de votre famille, de votre enfance ?

Vous êtes bien la première à vous y intéresser. Ma famille est une famille de magiciens, installée au Japon depuis le Xème siècle environ. Si l'envie vous en prend, vous pouvez venir nous voir à Osaka, ma famille y a son manoir principal de même que le temple lié à notre famille. De part ce cadre traditionnel, j'ai appris le maniement des armes de même que les arts martiaux depuis mon plus jeune âge. Je suis l'ainé de ma famille voyez-vous. J'ai eu une petite soeur, mais sa condition étant trop faible, elle n'a pas survécu à son douzième hiver ...

- Oh je suis navrée.

Aucuns soucis, j'ai appris à faire son deuil. Elle reste une personne chère à mon cœur encore aujourd'hui. A part ça que dire ... Mon enfance n'a rien de malheureux ou de joyeux, j'ai suivi les principes et l'éducation de ma famille, donc vous ne les trouverez pas très effusif mais cette enfance stricte a fait de moi ce que je suis à présent. Ma mère était une femme magnifique, elle est juste ... Un peu absente. Elle n'a pas supporté la mort de ma petite soeur. Mon père fait parti du ministère. Malgré son côté strict et peu avenant, j'ai appris beaucoup à ses côtés, et c'est lui qui m'a appris à faire face à la vie. Il a tout mon respect.

- En ce qui concerne vos études à Anima comment les avez-vous vécues ?

Et bien Anima n'a été qu'une partie de ma vie. Je me suis fait quelques très bons amis, des personnes que je vois encore aujourd'hui. Malgré tout je n'ai que peu de souvenirs de cet endroit. C’était un lieu d'apprentissage, un lieu d'approfondissement. Je me souviens surtout des classes sur le terrain, c'est là que je me suis vraiment épanoui. Mise à part ça, je ne chéris pas vraiment cette école comme une maison comme certains le font, mais plutôt comme un tremplin pour ma vie. C'est un peu la croisée des chemins pour moi. Là où tous les choix ont été pris.

- En ce qui concerne votre nom de magicien. Vous avez changé depuis Anima non ?

Oui c'est un peu étrange. A Anima, j'avais le nom du chevalier noir. Sans doute pour mon côté très tranché, ou que sais-je encore. Je me pensais un peu le chevalier de l'ombre, celui qui agissait pour des desseins plus grand. Mais une fois sorti, et durant les premières années de mes années sur le terrain, on m'a donné un autre nom, un nom qui me va tout autant. Outre le côté chasseur qu'on me donne, c'est surtout en rapport avec mon arme que mon nom fut donné. Je suis devenu le Shinigami. Certains le traduisent par Grim Reaper, mais c'est surtout le côté faucheur qui prime. Pourtant je n'ai pas tué autant de personnes qu'on le croit.

- Ca ne vous dérange pas ? La mort, tout ça ...

Je n'ai pas de remords si c'est ce que vous voulez savoir. C'était quelque chose à faire et je l'ai fait. De manière détachée je pourrais dire que c'était juste le boulot. Un ordre auquel on obéit de manière naturelle. Les regrets c'est quand on n'assume pas. J'ai toujours assumé chacune de mes actions, et je continuerais à le faire erreur ou non.

- Hn rien à voir, mais vous êtes également un animorphe, pouvez-vous nous en parler ?

Je pense que ça peut se faire. Je suis en effet un animorphe. Je me transforme en Guépard Royal. C'est la même race que les guépards mise à part que leur pelage est marqué par des trainés sombre sur le dos. Mon père est également un animorphe félin, donc ce ne fut pas vraiment une surprise. Je dois même dire que c'est un animal qui me correspond, après tout c'est un chasseur lui aussi.

- D'ailleurs en parlant de chasser, pourquoi avez-vous décidé d'arrêter la chasse que vous meniez depuis une dizaine d'année ?

Ce n'est pas vraiment un arrêt. Mon ancien professeur prend sa retraite, et j'ai décidé de lui succéder. Je resterai toujours un fantassin malgré tout même si je suis dans une école. Je pense juste que les élèves ont besoin de connaître la vérité, et pas simplement la théorie ou des simulations tranquilles. Même si nous ne sommes pas en guerre, le monde n'est pas pour autant gentil avec les gens, surtout avec ce genre d'adolescents et de jeunes adultes qui sortent de l'école les yeux remplis d'étoiles et d'espoir.

- Donc durant vos temps libres vous allez continuer à œuvrer contre les mages noirs ?

Je dirigerais toujours mon équipe si c'est ce qui vous intrigue. Je ne compte pas m'arrêter, vu que c'est ma vocation, je me rajoute juste un nouveau défi. Former des élèves n'a rien de simple, surtout quand ils considèrent ça comme un jeu.

- Et bien merci Sire Tsukiyo. J'espère que la rentrée se passera bien pour vous.

Je ferais en sorte que. Merci de votre attention portée sur ma personne.