Ce qu'il faut que vous sachiez, c'est que j'ai 19 ans, et que je suis en 4ème année. Je suis une Femme-chat, et je suis associé à l'élément Air. Je suis d'origine Coréenne et je suis issue d'une famille de magiciens. Enfin, je ressemble fortement à Lee Ji Eun mais ce n'est pas moi !

Ma baguette magique est en Bois de gaiac, mesure 26,7 cm et son coeur est composé de crin de licorne. A Anima, je possède un lion. Concernant ma spécialisation, j'aimerais être Elémentaliste.

Q : Comment vous comportez-vous avec votre entourage ? (famille, amis, rivaux, profs, inconnus ... )
Ϟ « J’ai beau être discrète, je montre quand j’aime ». Une phrase simple mais pleine de sens ? Ma famille c’est toute ma vie, mes amis aussi. Sans eux, je crois que je perdrais quelques repères assez importants pour m’en sortir. Pas que j’ai des problèmes pour ça mais, je préfère ne pas m’éloigner de ceux que j’aime. Et pourtant j’ai un défaut. Si ce n’est mettre les gens à l’aise, je n’ai pas peur de l’inconnu. Aucun inconnu n’est capable de m’impressionner. Peu importe qui il ou elle est, je ne vois jamais le mal, quand il y en a.

Q : Vous et l'école, ça donne quoi ? (élèves seulement)
Ϟ L’intelligence n’est pas quelque chose d’artificielle. Tout le monde en possède. Voilà une chose indéniable qu’on n’effacera jamais. Je ne dirais jamais que je suis une grosse tête, même si je me débrouille comme je peu. Seulement, je fais parti e ses gens qui passe plus de temps à étudier qu’à s’amuser, même si je ne suis pas contre l’amusement. J’ai tellement envie de réussir que penser le contraire me donne presque envie de me taper la tête contre les murs. Oui, je suis un rapace niveau savoir. Je suis toujours en quêtes d’aventure pour apprendre de nouvelles choses. Mais parfois ça déborde tellement que, ma tête se vide complètement et toutes les connaissances absorbées, deviennent de la pâtée.

Q : Citez 3 de vos qualités et 3 de vos défauts (en développant un peu) :
Ϟ Je crois que mon plus grand défaut est celui de la paresse. Bien que je travail le plus possible, il y a toujours un moment ou je ne tiens plus et ou je pique du nez. Depuis toute petite, il m’arrive de m’endormir n’importe quand, n’importe où. Mes parents ont toujours dis que le chat sommeillant en moi était le seul et l’unique fautif de cela.
Je suis aussi une grande excitée de la vie. Un défaut ? Peut-être. Je suis toujours en quête de nouvelles aventures, entrain de chercher quelque chose à dire ou à faire. Je crois que j’en épuise quelques uns… Surtout que, mon monde imaginaire n’est pas souvent des plus apprécier aussi.
Une qualité ? Il faut bien en trouver une. Et je dirais que la mienne est ma façon de m’approcher des gens. Autant lorsque les cours sonnent on ne m’entend pas, sauf lors de mes laissés aller. Autant je suis capable de m’approcher de n’importe qui pour faire sa connaissance. Ma sociabilité n’a pas de limite, je n’ai pas de limite tant que cela reste possible.

« Qui es-tu ? »
« Ton plus grand rêve. »

Une nuit, un rêve. Cauchemar ? Peut-être. Dans la pénombre de cette nuit hivernale, elle s’éveillait enfin de cette longue absence non gratifiante. Son teint était pâle, surement qu’elle était malade. Depuis quelques jours elle ne se sentait pas en état. Fatiguée, lasse de toute chose. Elle qui débordait toujours d’énergie, se trouvait en cette nuit allongé au milieu de la neige qui s’était abattue sur le sol comme une lame s’abattrait contre la nuque d’un voleur. Comme une punition divine lancée par le ciel. Comme toujours, elle s’était endormir n’importe où, laissant ses rêves prendre le contrôle de son être alors qu’elle avait sombré sur un des bancs de la cour. Comme souvent d’ailleurs. Ses membres étaient gelés, tellement que lorsqu’elle tenta de bouger, elle ne pu que laisser s’échapper d’entre ses lèvres un sifflement rappelant celui du serpent. Mais, n’était-elle pas à demi chat à la base ? Finalement, sous le froid et le noir, ses yeux ne purent que se refermer, malgré elle. Tant pis si elle tombait malade, s’était trop dur, tout était trop dur.

Alors qu’elle se laissait partir, elle sentait contre son visage une sensation bien connu et agréable, comme si une fourrure dès plus douce s’amusait à la chatouiller, comme si un grognement tentait de la réveiller. Elle n’y arrivait seulement pas, trop gelée, trop glacée pour tenter de bouger. Ce n’est que soudainement, qu’un flash blanc la fit se redresser alors que la surprise prenait part dans se regard qu’était le sien. Effrayé mais réactif, comme ses nobles animaux perdus face à la nature.

Tic Tac, tout changeait. Pourquoi ? La neige n’était plus là ; je vent frais, glaçant n’était plus là. Devant elle, se dressait un miroir, un miroir immense et large entouré de mince filet de cristaux brillant grâce au reflet de cette lune se trouvant dehors. Comment s’était-elle retrouvée là ? Finalement, la curiosité était toujours plus grande qu’elle et alors qu’elle avançait sa main vers ce miroir semblant fait d’eau et de larmes, cette jeune femme au regard nerveux posa ses fins doigts sur cet objet qui dans une lumière chauffante, aspira tout son être.

« Les chats ont neufs vies, est-ce que ça compte pour nous aussi ? »

TO BE CONTINU