Ce qu'il faut que vous sachiez, c'est que j'ai 17 ans, et que je suis en Première année. Je suis un Animorphe de léopard des neiges, et je suis associé à l'élément Feu. Je suis d'origine chinoise et je suis issue d'une famille de sang mêlé: ma mère est sorcière animorphe et mon père est sorcier. Enfin, je ressemble fortement à Huang ZiTao - Tao [EXO] mais ce n'est pas moi !

Ma baguette magique est en Bois de cèdre, mesure 31,76 cm et son coeur est composé de plume de phoenix. A Anima, je possède un chat de race bengale au comportement insuportable mais tellement adorable qu'il est impossible de dire non. . Concernant ma spécialisation, j'aimerais être Fantassin, Guérisseur, Elémentaliste (à remplir seulement pour les élèves à partir de la 3ème année).

Q : Comment vous comportez-vous avec votre entourage ? (famille, amis, rivaux, profs, inconnus ... )
Ϟ Ma famille est terriblement protectrice, elle m'étouffe complètement alors quand je suis avec eux, j'ai tendance à me faire aussi petit que possible pour me faire oublier. Si ça marche? Non, jamais mais bon, je peux pas vraiment leur en vouloir, ma soeur ne porte pas le gêne animal alors ils me prennent un peu pour le membre de la famille à dissimuler aux moldus, celui qui doit être protégé d'eux. Même ma soeur le fait. Je les aime terriblement mais je ne leur montre pas, pour leur faire entendre mon désir d'indépendance. Mes amis sont ma seconde famille mais dans le sens positif, ils me comprennent, me laisse vivre et m'y aident. Je suis avec eux comme un gamin sans cervelle, je fais des idioties, je ris à gorge déployée, je suis le bon pote de tout le monde en gros.. Pourtant, je ne m'attache pas vraiment au gens, un esprit de liberté me tient éloigné de trop de racines. Mais je suis aimant et généreux avec ceux qui sont mes amis. Pour mes ennemis, je ne sais pas vraiment m'expliquer, je les aime aussi dans un sens. Il réveillent cet esprit félin de concours, de dépassement, de bagarre. J'aime sentir qu'il y a autour de moi des gens qui me tiennent tête, sur lesquels je marche pour me hisser plus haut ou qui me rabaisseront pour me rappeler ma place. Je suis souvent vifs avec eux, taquins et à lancer des piques mais au fond de mes yeux fauves brille cette flamme du jeu et de l'amusement. Mes suppérieurs, j'les ai toujours bien traîté. Je suis tête brûlée, pas mal élevé! J'ai tendance à me faire détester d'eux parce que je mets les autres (et moi même) en danger, que je manque de tout casser et que je suis simpliste mais je me comporte toujours à leur égard avec le respect qui leur est du. Finalement, vous savez, les gens que j'aime, ceux qui comptent dans mon coeur plus que les autres... Ceux dont... Je suis tombé amoureux... Ils sont si peu... Mais je les ai chéri, tous, j'ai aimé avec passion (trop parfois, je suis un fauve, n'oubliez pas), avec tendresse et avec jalousie. J'aime que l'être aimé ne regarde que moi, qu'il fasse attention à moi et que tout le monde sache qu'on s'appartient. Je ne laisse pas de doutes là-dessus.

Q : Vous et l'école, ça donne quoi ?
Ϟ Ben... Disons que tant qu'il n'y a rien à retenir, je suis parfait. J'ai toujours eu d'excellents réflexes tant mentaux que physiques, je sais que ma vivacité d'esprit ne se manifeste hélas pas lorsqu'il faut étudier des centaines de lignes pour apprendre l'histoire de Dieu seul sait quel peuple. Ca m'ennuie, je n'aime pas cela! Je suis une personne qui a terriblement besoin de vivre, de bouger, d'expérimenter pour me sentir à l'aise, je ne veux définitivement pas terminer mes études en rat de bibliothèque. Attention, je n'ai jamais de note en dessous de la moyenne, même dans toutes les matières théoriques, je me débrouille pour atteindre une note qui me permette de passer mais je ne brille pas, c'est certain. En revanche, la pratique me rend totalement incontournable, je m'y amuse, m'y épanouis, je m'y ennivre! Mes tests, mes cours, tout me rend oeuphorique, j'en veux toujours plus. Ce savoir m'exalte.

Q : Citez 3 de vos qualités et 3 de vos défauts (en développant un peu) :
Ϟ Indépendant. Je suis un être libre. J'ai terriblement besoin de mon indépendance, de savoir que je peux tout faire par moi même, que je ne suis pas celui qui se repose sur les autres. Je me sens bien quand je sais que j'ai tout à portée de rêve. Joyeux. Il n'y a rien en moi qui soit de nature à râler ou à se laisser démoraliser. Je vois le côté positif des choses jusque dans les recoins les plus noirs... Enfin, sauf quand il s'agit d'étudier, là... C'est le néant, ma joie disparait. Passionné. Je ne fais rien sans passion. Je suis un fauve, la passion vit en moi, elle y rugit, elle ne dort jamais. Je sais la cultiver, l'entretenir de telle sorte qu'elle en devient torentielle en moi. Jaloux. Habitué à recevoir toute l'attention, j'ai une jalousie possessive qui me force à marquer chaque personne chère à mon coeur. J'ai besoin de la couvrir de suçons jusqu'à ce que tous sachent que non, rien ne me la prendra. Tête brûlée. Je ne respecte rien, je n'ai foi en rien, je n'ai ni Dieu ni maître. Ce défaut est lié à mon amour pour la liberté. Je ne supporte pas les règles et suis très impulsif, je fais tout comme cela me vient en tête, je ne réfléchit à aucune conséquence, j'aime l'adrénaline que ça m'apporte malgré le fait que je fais enrager tout l'établissement. Naïf. J'ai hélas tendance à croire tout ce qu'on me dit. Un troll dans la forêt?! Non au secours! Je dois me planquer! Un examen de potions demain? Je vais mourir j'ai rien révisé! Tu m'aimes? . . . S'il te plait, prends soin de moi.

Xuan Li est né à Shangai, fils d’un père sorcier et très à l’aise avec la possibilité de marier une animorphe et d’une mère, donc, animorphe. Pour tout vous dire, malgré le fait qu’ils étaient tous deux très à l’aise avec la magie, aucun d’entre eux ne voulait que leur fils soit lié avec le monde magique. Pourquoi ? La mère du jeune homme ayant toujours été une éternelle angoissée n’appréciait guère que son fils se retrouve mêlé à un monde dans lequel la mort peut surgir d’un simple mot. Aussi, en découvrant les qualités d’animorphe de leur enfants, furent ils plutôt tristes. Mais la vie ne s’arrête pas au premier problème qu’elle rencontre fort heureusement. Aussi le plus jeune put goûter au loisir d’une enfance douce, sans problèmes durant laquelle il rencontra très jeune un jeune garçon blond. Qi Liao Tian était le garçon dont XuanLi était le plus proche. Ils étaient fourrés ensemble dans toutes les bêtises, tous les exploits et ils savaient tout l’un de l’autre. Sauf que l’un était fils d’une pure lignée sorcière et l’autre héritier de gênes animorphes. Longtemps les deux jeunes garçons furent liés jusqu’à la moëlle. Deux ans de différence séparaient leurs ages, leurs classes, leurs intérêts, leurs mentalités. Mais que sont deux ans quand vous grandissez ensemble ? Que vous apprenez à prendre soin l’un de l’autre, à vous lier comme dans un pacte. Mais le destin des deux enfants était bien différent de l’idylle qu’on aurait pu leur souhaiter. En effet, vers l’âge de 8 ans, XuanLi décida qu’il ne pouvait plus avoir de secret pour son meilleur ami et lui révéla par la démonstration son statut lié au monde magique. Et c’est cet exact moment que choisit la mère du brun pour faire irruption dans leur « QG » top secret, découvrant alors son fils sous cette forme, elle prit peur et l’emmena vite fait. De cet incident résultat simplement une grosse incompréhension. XuanLi ne comprit jamais pourquoi mais le lendemain, il se retrouvait sur le siège arrière de sa voiture pleine de leurs bagages à pleurer les larmes de son corps en regardant un jeune garçon se tenir droit au bout de la rue, observant la voiture s’en aller en lui enlevant son meilleur ami.

XuanLi eut beaucoup de mal à s’adapter à la vie de Séoulite car en effet, ils avaient déménagé à Séoul. La première année fut, pour le chinois, terriblement difficile. Il ne connaissait pas la langue et en voulait terriblement à ses parents pour l’avoir emmené loin de tout ce qu’il avait toujours connu sans comprendre que c’était pour son bien. Il se raccrochait au dernier souvenir physique qu’il gardait de son ami, le pendentif qu’ils s’étaient échangés pour ne pas se quitter. Il finit cependant par s’habituer à cette nouvelle vision. Il se fit des amis, s’habitua à tout cacher de sa nature, à garder des secrets, à ne pas même songer à les révéler. Il se pensait complètement sauf et hors de tous dangers même s’il était vrai que régulièrement, il repensait à sa vie en Chine et à comment il aurait pu évoluer s’il était resté auprès du moldu blond. Il murit pourtant, doucement, se trouvant bientôt frère aîné d’une jolie tête blonde, dépourvue du moindre gêne animal. Et la vie fut tranquille jusqu’à ce qu’un jour, une belle enveloppe cachetée à son nom apparaissent dans leur boite au lettre, ravissant le cœur de la mère de XuanLi, rassurée qu’il aille enfin apprendre à se défendre et Xuan Li lui-même, euphorique d’enfin pouvoir vivre une vie plus libre et moins mensongère, une vie où il ne devrait plus cacher sa nature, son identité réelle, cela l’exaltait complètement. Aussi est-ce dans un état d’esprit très ouvert et jovial qu’il se rendit à Anima. Sans savoir que sa vie n’était pas prête à s’apaiser de sitôt !