Ce qu'il faut que vous sachiez, c'est que j'ai 19 ans, et que je suis en 4ème année. Je suis une humaine, et je suis associée à l'élément Feu. Je suis d'origine sud-coréenne et chinoise et je suis issue d'une famille où mes parents sont magiciens. Enfin, je ressemble fortement à Bae Suzy des Miss A mais ce n'est pas moi !

Ma baguette magique est en bois d’ébène , mesure 34,5 cm et son coeur est composé d'un ventricule de coeur de dragon. A Anima, je possède un hérisson nommé Pintufla. Concernant ma spécialisation, j'aimerais être Guérisseur.

Q : Comment vous comportez-vous avec votre entourage ? (famille, amis, rivaux, profs, inconnus ... )
Ϟ Mon comportement varie selon les personnes qui me font face. C’est une chose purement logique et je pense que c’est ainsi pour beaucoup de personne, mais me concernant le changement peut-être radical. Envers ma famille et ceux que je considère ainsi, je me lâche bien plus facilement, il m’arrive d’ailleurs très souvent de faire des crises de jalousie pour tout et rien, de m’approprier ce qui en soit ne m’appartient pas ou encore d’embarquer mes proches dans mes histoires et mes délires parfois incompréhensibles. Ce ne sont pas des choses que je fais quotidiennement ni même trop souvent, mais cela ne les étonnes plus grandement. En contrepartie quand ils ont besoin d’aide, ils peuvent compter sur moi et cela même s’il s’agit d’enterrer un cadavre au beau milieu de la nuit. Avec de simples amis, ce comportement est bien moins marqué car je sais tout de même me comporter en société. D’ailleurs étant relativement sociable, des amis, j’en ai beaucoup. Alors quand certains deviennent agaçants, je n’ai aucun regret à couper toutes relations avec eux, une vie, on en a qu’une et traîner avec des personnes qui te pourrissent ta journée, ce n’est aucunement une option que j’envisage, mais cela ne m’empêche aucunement de revenir vers eux un grand sourire aux lèvres, je ne suis pas rancunière. Envers mes rivaux, cela peut dépendre : Quand il s’agit d’amour, j’ai toujours celui que je souhaite, alors que je sois en couple avec lui ou non, aucune demoiselle n’a le droit d’y toucher au risque d’avoir à faire à moi, chose très peu conseillé. Quand il s’agit des cours et des notes, si quelqu’un souhaite me détrôner de ma sixième place, qu’il le fasse, au moins ça me changera un peu, mais faut-il déjà que cette personne ne m’agace pas (Enfin faut-il déjà quelqu’un pour vouloir détrôner une personne de sa sixième place). Avec les inconnus, tout dépend de la situation, pour eux, je ne me cantonnerais pas à dire que je suis ainsi et pas autrement, car avec moi il faut s’attendre à tout.

Q : Vous et l'école, ça donne quoi ?
À l’école, on m’attribue le plus souvent la place de cinquième ou sixième meilleure élève de la classe. Que cela ne me déplaise, faire partie des meilleures sans pourtant faire partie de l’élite n’est pas une chose que je regrette, même si fut un temps je rêvais presque d’être élevé au même rang que ces élèves snobs. Je travaille donc assez pour atteindre des notes bien plus que convenable et j’essaye de rester stable, même si la stabilité n’est en soit pas un adjectif qui pourrait justement me qualifier. D’ailleurs ces derniers temps, j’ai l’impression de me laisser un peu aller au niveau des révisions. Cela ne se répercute pas trop sur mes notes, mais si je ne me reprends pas rapidement, j’ai bien peur de couler bêtement.

Q : Citez 3 de vos qualités et 3 de vos défauts (en développant un peu) :
Ϟ Unique fille et cadette de la famille, il est vrai que j’ai longtemps été chouchouté et grandement aimé que ce soit par mes parents comme par mes deux grands-frères, ce qui fait de moi une égoïste et une boudeuse, que voulez-vous, on m’a toujours tout accordé. Mais cette éducation m’a tout de même permise de me donner grandement confiance en moi et de me lier aux autres facilement, je suis donc attachante et ouverte. Malgré tout, mes parents sont très exigent, surtout quand il s'agit de mes études et m’ont inculqué le travail et l’effort, je suis donc assez intelligente, même si malgré eux, je ne fais pas partie de l’élite. Je suis aussi un peu lunatique et pas très stable, je peux passer du rire aux crises en quelques secondes, être sociable à un certain moment, puis parfois (mais rarement) me renfermer sur moi-même. Malgré tout je ne pleure jamais. Et puis, je suis énergique, il faut toujours que je bouge, que je fasse quelque chose, ce qui me rend le plus souvent impulsive.

Ce fut d’une journée paisible et calme que naquit la « douce » Mi Na. Sa naissance fut des plus anodines, à part peut-être qu’elle est née prématurément et qu’une césarienne fut pratiquée sur sa génitrice pour réussir à sortir cette tête de mule de son corps… Mais à part ça, rien de bien original ni fameux à raconter. Si vous voulez du potin, ce n’est pas la naissance de Mi Na qui soulèverait les foules. Dernière enfant de la fratrie, il est clair que dès sa naissance, elle en a fait voir de toutes les couleurs à ses parents, se pointer trois semaines avant la date initiale, c’est tout-à-fait son genre. Malgré son entêtement, le nourrisson dut passer sous une couveuse pour en sortir quelques semaines après. Mi Na n’a pas eu une enfance chaotique, en parfaite santé, vivant dans une famille aux revenues plus que convenables, des parents travaillant au ministère de la magie, leur emploi étant stable, la jeune magicienne et ses grands-frères ont grandi paisiblement, même si le manque de présence maternel et paternel se faisait le plus souvent ressentir, étant souvent occupé par leurs fonctions, les parents ne pouvaient parfois plus vraiment s’occuper de leurs enfants et ils étaient alors mis sous l’autorité d’une nourrice qui changeait constamment. Les pauvres dames qui ne faisaient que leur travail, devaient faire face à l’imagination sans limite de trois petits magiciens n’ayant comme seul occupation la torture des nourrices. Les jeux flottant dans les airs, c’étaient marrant quelques minutes puis ça en devenait ennuyant et les trois petit Bae n’avait droit qu’à ça pour s’occuper, il fallait donc trouver autre chose.

Ce fut d’ailleurs en voulant copier ses frères qu’elle apprit rapidement à manipuler le peu de pouvoir qu’elle pouvait contrôler avec son corps, parfois arrivait-elle à utiliser une baguette, quand ses deux compères réussissaient à la voler à leur parent ou leur nourrice. À l’école, la douce enfant, était des plus exemplaires, elle n’avait pas grandement le choix, si ses notes et ses appréciations ne répondaient pas aux attentes de ses parents, elle connaissait parfaitement les sanctions et se bornait donc à travailler sagement, même si parfois il lui arrivait de faire quelques excès. Comme après une nuit blanche à concocter tout un plan pour farcir les fesses de la nouvelle nourrice, elle s’était endormi en pleine évaluation et avait fini avec un zéro pointé, n’imaginez pas la crise familiale… Elle fut punie et ne recommença pas ses conneries avant un bon moment.

L’île de Rozelam et Anima ne fut jamais caché à la jeune enfant, elle en a toujours entendu parler que ce soit par ses parents comme par les personnes qui constituaient son entourage. Alors quand elle reçut sa lettre d’admission, elle ne put qu’en être heureuse, elle allait suivre la trace de ses frangins et devenir à son tour une sorcière et pourquoi pas marquer l’histoire de la magie.
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